Vous souhaitez acheter une maison, mais vous ne connaissez presque rien dans l’immobilier étant donné qu’il s’agit de l’achat de votre tout premier achat. La question qui vous préoccupe le plus : par quel moyen financer ce projet ? Pas de panique, il existe plusieurs façons de procéder.
Les meilleurs taux de prêt immobilier
Le crédit immobilier est l’une des solutions à vos problèmes. Cependant, il ne s’agit pas de n’importe quel crédit. La première chose à faire est donc de chercher l’emprunt au meilleur taux. Parmi les nombreuses offres, vous allez sûrement en trouver une qui vous correspond.
En moyenne, le taux bancaire hors assurance oscille entre 2,30 et 2,50% sur une durée de 15 ou 20 ans, mais pour en bénéficier, il faut disposer d’un apport personnel conséquent. D’ailleurs, cela concerne tout type d’emprunt.
Les jeunes sont souvent aidés financièrement par leurs parents pour l’acquisition d’un premier logement. Dans ce cadre, la fiscalité est avantageuse, car les dons de toutes natures entre parents et enfants sont ainsi exonérés de droits. En outre, l’attrait fiscal des donations familiales vient d’être renforcé par la loi des finances.
Les financements spécifiques
Le prêt à taux zéro (PTZ) est une autre option pour financer un premier achat immobilier. En fait, ce type de financement spécifique permet d’emprunter jusqu’à 89.700€ sans intérêt, notamment pour acheter un logement neuf ou un bien à rénover dans une commune rurale.
Cependant, le PTZ ne peut financer qu’une partie de votre projet immobilier, soit 26% maximum. En revanche, le prêt accession sociale (PAS) peut entièrement financer l’opération. Les pouvoirs publics plafonnent son taux à 3,10%.
En fait, les taux proposés par les banques sont inférieurs, mais il existe d’autres « petits prêts » qui peuvent aider à débloquer une opération immobilière comme le prêt action logement (PEA) ou les crédits accordés par les collectivités locales ainsi que certaines mutuelles.
Les projets immobiliers en faveur des primo-accédants
Il y a également l’Agence nationale de rénovation urbaine (Annu) dans les 400 zones où les primo-accédants peuvent acquérir un nouveau logement avec un taux de 5,5% au lieu de 20%. Cette offre est sous condition de revenus, mais elle est tout autant avantageuse. Lors de l’achat, l’acheteur doit verser une partie de la TVA économisée. Afin de cibler les primo-accédants, les promoteurs ont réduit leurs coûts de construction ainsi que la taille des logements.